j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas

Loukas Midas Lazaridis

>> What have I done with my heart on the floor I must be out of my mind to come back begging for more <<

prénom : Loukas est un prénom lui venant de son grand-père. Prénom très doux et tempéré, les parents du petit ne se doutaient pas lorsqu'ils lui donnèrent qu'ils allaient avoir totalement raison avec leur choix. Midas, son second prénom est bien plus marqué par la mythologie grecque et les histoires que sa mère lui contait enfant. Ça a toujours amusé le petit de se dire qu'un jour peut-être que lui aussi pourrait transformer en or tout ce qu'il touche. Déjà à l'époque il était bien trop rêveur pour le monde dans lequel il vivait. + nom : Lazaridis, le nom oublié d'un malfrat de bas étage qui s'est fait arrêté plus de fois qu'il n'a réussi son coup. C'est aussi le nom de famille de cet orphelin qui durant son enfance parcourait les quartiers malfamés à la recherche de ses parents. Ce même orphelin qui des années durant disparaîtra et réapparaitra en ville voguant de familles en familles sans jamais trouver un foyer qui voudrait de lui. + date et lieu de naissance : Somnium Revoco, 24 avril 1990 + âge : 24 ans + métier/étude : Peintre de bas étage, revendant de tout en partant de la copie jusqu'au faux qui se font passé pour des vrais oeuvres. + statut civil : Après une longue période passée en couple, il semblerait que le célibat ne veule plus lâcher les basques de Loukas. Ce dernier ne s'en plaint pas tellement. Il est bien seul, il est bien dans son monde, il n'a jamais été aussi bien que depuis qu'il parcoure les paradis artificiels pour que jamais il s'écrase à nouveau face à la réalité. + orientation sexuelle : Jusqu'à présent, Loukas s'est montré entièrement hétérosexel. Néanmoins, le jeune homme n'a jamais eu la moindre expérience homosexuelle et n'a jamais réellement été tenté à vrai dire.+ dans tes rêves : La pilule c’est son échappatoire, sa sortie de secours dans ce monde beaucoup trop noir. Pour Loukas cette pilule c’est plus qu’une pilule, c’est un condensé de bonheur en poudre. C’est un bout de paradis enfermé dans une gélule. C’est sa béquille, la seule chose qui lui permet d’avancer, de ramper un jour de plus en attendant la suite. Pour le jeune Lazaridis c’est la seule chose qui lui permet de tenir. Sans cette pilule, sans ce rien qui est tout il ne serait surement plus là ou peut-être serait il encore plus bas, la tête perdue dans le caniveau le cœur encore plus en lambeaux. Les rêves de ce presque adulte au cœur d’enfant n’ont rien d’extravagant. Il ne rêve pas de super pouvoir, il ne veut pas sauver des vies ou être aimé de tous. Parfois il lui prend de s’imaginer à nouveau enfant, calé dans les bras de sa mère. Il lui arrive de s’imaginer simplement au restaurant avec la femme de sa vie, lui tenant la main et parlant de tout et de rien. Généralement, il est différent. C’est l’élément le plus récurrent : cette différence. Il est Loukas, mais le mal être en moins. Il est lui-même mais plus. A croire que tout ce qui lui manque disparaît et qu’il se sent plein. Il n’est plus tordu, le monde ne pèse plus lourdement sur ses épaules, il se sent mieux, il se sent bien. Il rêve de vendre ses toiles, il rêve d’avoir une famille, il rêve de savoir ce que c’est d’avoir un foyer. Il rêve d’un monde meilleur, un monde où tous les cœurs brisés trouvent la force d’être aimés. + ma petite tête : Max Irons + groupe : Never wake me up

all of me

It is practically always so painful for me to speak to other people. + Loukas est né de l’union d’un homme violent et habitué aux allers et retours entre la prison et le foyer familiale ainsi qu’une mère soumise qui n’a jamais souhaité d’avoir un enfant + A partir de ses quatre ans et le décès de sa mère ainsi que l’enfermement ferme de son père, le petit se retrouva trimballer de foyer d’accueil en foyer d’accueil + Déchet d’une société qui ne voulait pas de lui, le petit s’est vite renfermé et à grandi en se créant une carapace + Lorsqu’il eu l’âge de prendre ses propres décisions, Loukas décida de rester pour de bon à Somnium Revoco + Secret, peu prolixe, intriguant, délicat, passionné, tordu, incompréhensible, trop sensible, violent, colérique, il manque de confiance en lui, à les épaules trop frêle pour porter le monde + Depuis toujours il s’est senti comme étant quelqu’un d’à part, à croire qu’il avait été créer avec une pièce manquante, une pièce vitale qui lui aurait permis d’affronter le monde, mais sans laquelle il ne peut rien faire + Fume comme un pompier, boit trop, gobe pilule sur pilule, le brun possède une personnalité qui tend à le rendre accro rapidement + Ses nombreux déménagement, à cause de son tempérament ou d’incident bien trop souvent causé par lui, l’empêchèrent de nouer des relations saines et stables + Depuis toujours Loukas s’est enfermé dans un monde à part utilisant la peinture pour transmettre les émotions qu’il ne pouvait exprimer + Le brun se déplace majoritairement en longboard n’ayant pas assez d’argent pour une voiture + Adore passer du temps sur la pluie, l’odeur de la pluie et regarder le ciel une fois la nuit tombée + Le jeune Lazaridis souffre de phobies social, d’un inconfort sensible lorsqu’il est entouré de trop de monde et à bien du mal à gérer ses émotions lorsqu’il est en présence d’un nombre de personnes conséquent + Gauche, maladroit, même s’il semble toujours tout gérer, bien souvent le brun ne gère rien du tout + Dans ses bons jours il est souriant, charmeur, peut faire preuve d’un charisme sans limite et semble même malicieux, malheureusement ses bons jours se font rares dernièrement + Dans ses mauvais jours Loukas est imbuvable, taciturne, renfermé dans ses bulles et très dur à atteindre, on le voit comme un homme vide, usé par la vie, une loque dont on ne peut plus rien faire + Il a vu dans les pilules un moyen de vivre une autre vie, le moyen d’être autre chose que lui-même ; ça a beau le terrifier, il adore ce sentiment de pouvoir être tout et n’importe quoi, il adore pouvoir s’oublier et vivre autrement rien qu’un instant ; le brun n’avait pas prévu de tomber aussi bas, mais une fois qu’il a commencé ça lui est devenu impossible de s’arrêter + A énormément de mal à faire des nuits complètes, il adore qu’on lui caresse les cheveux alors qu’il est sur le point de s’endormir + Croit en l’amour, un amour violent et passionné, un amour qui détruit plus que ce qu’il ne soigne, un amour qui consume et brûle tout sur son passage ; il croyait avant que cet amour pouvait le sauver, il se rend compte maintenant que l’amour est la plus belle arme pour tuer quelqu’un + Ne boit pas de café, mais est accro aux soda, il mange extrêmement mal et peut enchainer des semaines durant lesquelles il se nourrit à peine + Lorsqu’il avait dix huit ans il a essayé de rentrer dans une école d’art mais a été recalé à cause d’un manque flagrant de technique + Depuis ses dix huit ans il s’est grandement amélioré, mais il ne croit pas assez en lui que pour tenter de se faire connaître + Ne se rend pas compte qu’il est en train de glisser sur une pente dangereuse qui va lui faire perdre tout ce qu’il a + Son entourage essaye désespérément de le faire sortir de cette spirale autodestructrice dans laquelle il est en train de s’enliser, mais rien n’y fait + Porte une chaine autour du cou, cette dernière avait appartenu à son père, accroché à celle-ci se trouve une bague de fiançailles ayant appartenue à sa mère + Possède le tatouage d’un ouroboros coincé dans l’intérieur de son bras au niveau de son biceps + Possède quelques cicatrices du temps de ses frasques plus stupides les unes que les autres + Ne veut pas l’admettre, mais il a un cœur tendre, c’est pour ça qu’il a autant de mal à vivre dans la réalité + Chante sous la douche, mange ses céréale en mélangeant les saveurs, il lui arrive de rester des semaines enfermé et prostré dans sa chambre, son appartement lui sert d’atelier, se fiche de ce qu’il porte que ça soit troué ou trop large, vit dans une réalité alternative à croire qu’à force de consommer des pilules il ne sait plus ce qu’est la réalité + Son appartement est celui d’un artiste, sur certain mur se trouve des fresques représentant des paysages, des personnes de son entourage, des inconnus, des scènes qu’il a rêvé, à gauche et à droite on retrouve des pots de pinceaux, sa cuisine est constamment en chantier et sa salle de bain est séparé du reste de l’endroit par un mur à moitié transparent et recouvert d’inscription ; il n’est pas rare que sa piaule ressemble à un squat, son lit trainant à même le sol, son fauteuil étant surélevé à l’aide de bottins téléphonique et sa machine à lavé fonctionnant une fois sur deux, mais c’est son chez lui + Lorsque les problèmes se sont amassés à sa porte il s'est mis à tremper dans des trucs louches, il n'est pas rare que le brun se transforme en faussaire l'espace d'une nuit pour rembourser des dettes.

story of my life

Your sadness is not beautiful. It’s not keeping you warm. It’s not keeping you company. You don’t feel it right now but your sadness is sinking you. It’s slowly taking over your body, biting your soul and splitting your heart. Don’t let it crack you open. Fight it.
La jouissance que Loukas éprouvait perdu au cœur de ses rêves ne pouvait être décrite. Le bien être, cette boule de chaleur au creux de son ventre, cette toute puissance. Le jeune homme ne pouvait l’expliquer, aux autres, à lui-même. Il en avait besoin. Peu importait à quel point la chute était dur une fois que les yeux ouverts il devait revenir à la réalité. Peu importait cette douleur qui lui déchirait les entrailles, le mettait en lambeaux. Quelques minutes de ce pur bonheur en intraveineuse valaient toute la douleur du monde. Depuis le temps, Loukas s’était accroché aux paradis artificiels, faisant de son mieux pour éviter les claques de cette chienne de vie qui le rappelait à l’ordre. Allongé sur le matelas posé à même le sol de son appartement miteux, le jeune Lazaridis fixait le plafond encore à moitié en transe. Les rideaux tirés, une volute de fumée de cigarette emplissant la pièce, le brun n’avait plus mis un pied dehors depuis quelques jours. A côté de son lit de fortune se trouvaient les débris de paquets de clopes usagés, les vidanges de bouteilles d’alcool depuis longtemps consommées. Roulant sur son flanc, le brun enfoui sa tête dans son coussin tout en grognant. Son ventre noué le rappelait à l’ordre, depuis quand n’avait-il pas manger ? Ses vêtements poisseux et malodorant lui demandaient depuis quand il n’était plus passé sous le jet vivifiant de sa douche. Le brun n’était rien de plus qu’une épave. Sur le mur lui faisant face se trouvait une fresque en construction depuis longtemps déjà, trop longtemps. Il aimait autant qu’il haïssait cette toile. On pouvait voir les notes qu’il avait fait sur la toile en s’imaginant son œuvre final. Pour le moment, on ne pouvait distinguer que les courbes d’une femme au regard triste. Le brun sentait les yeux de cette dernière en permanence, il en rêvait lorsqu’il ne gobait pas des rêves en pilules. Elle le hantait et ça le tuait. Grognant, la bouche pâteuse, les traits tirés le brun ne voulait qu’une chose : y retourner. Tendant sa main à sa droite, recherchant fiévreusement ce concentré de bonheur sans lequel il pouvait avancer, il renversa le pot contenant ses précieuses pilules. Obligé de se redresser, malgré sa tête lourde, Loukas grogna à nouveau avant de se remettre sur ses pieds. Grattant sa barbe de trois jours, le brun s’abaissa pour ramasser consciencieusement ses pilules pour les rassembler. Trois. C’était tout ce qu’il avait, trois pilules pour tenir le plus longtemps possible. Trois pilules avant une nouvelle confrontation avec le monde extérieur. Comment allait il tenir ? Il ne voulait pas sortir, il ne pouvait pas sortir ! Sans qu’il ne prenne conscience de la tension physique qu’il était en train de ressentir, le brun se mit à respirer lourdement. L’air dans la pièce était lourd, il faisait chaud et ses poumons semblaient ne plus vouloir faire leur office. Respirant de plus en plus difficilement, incapable de remplir ses poumons comme il le désirait, Loukas tira sur le col de son t-shirt essayant d’arracher cette entrave qui semblait lui obstruer la gorge. Se laissant tomber en arrière, le brun s’installa sur le lit essayant de se battre contre l’angoisse qui paralysait progressivement ses membres. S’il n’avait été aussi obnubilé par ses troubles, peut-être aurait il entendu le bruit si reconnaissable et désagréable de la porte d’entrée grinçant comme on hurle à la mort. De l’autre côté de la porte de sa chambre les choses s’agitaient, mais le jeune Lazaridis n’en savait rien. En plein dilemme, il ne faisait attention à rien d’autre que son trouble. S’il prenait une pilule maintenant et qu’il se concentrait juste assez, il pourrait faire un rêve, un rêve si magnifique qu’il ne voudrait jamais s’en réveiller. Mais dans ce cas il ne lui resterait plus que deux pilules et cette épée de Damoclès reposant au dessus de sa tête. C’était trop dur, trop tentant, le brun attrapa cet ersatz de paradis et regardant la pilule tachait de réfléchir au plus beau rêve qu’il voulait vivre. S’apprêtant à gober la pilule, il s’arrêta en voyant la porte de sa chambre s’ouvrir. La lumière provenant de la pièce principale éclaboussa ses rétines, le forçant à fermer les yeux l’espace d’une seconde. Il n’en fut pas plus à la nouvelle arrivante pour lui arracher ce qu’il avait en main avant qu’elle ne coince son visage entre ses mains sans aucune douceur : « Pour qui tu te prends ?! Qu’est-ce que tu crois Loukas ? » Ouvrant les yeux sur ce visage qui lui était bien trop connu, le brun resta muet, sa respiration était toujours trouble, mais la brune semblait n’en avoir rien à faire. Le regard glacée qu’elle lui jetait alors parlait bien plus que tout les mots connus par l’humanité. La gorge sèche, encore à moitié groggy à cause de ses frasques de la veille, le peintre raté ouvrit la bouche à plusieurs reprises, la fermant presque instantanément. Que pouvait-il lui répondre ? Elle était en train de mourir, elle était en train de crever à cause de lui. Elle se saignait, encore et encore, s’usant jusqu’à la moelle pour qu’il puisse vivre un jour de plus sans se défenestrer, sans sauter le pas, sans lui infliger cette douleur là. « Tu mérites pas ça Sora. » Sa voix était rauque, usée, on pouvait sentir qu’il n’avait plus bu une goute d’eau depuis des lustres. Les doigts de la jeune femme glissaient sur ses joues, caressant sa barbe mal rasée, son visage émacié. Peu importait l’air tempétueux avec lequel elle était entrée dans la pièce, au fond elle était autant une épave que lui. Loukas le savait, il l’avait toujours su. C’était idiot, mais ils avaient cru pouvoir se sauver à deux, pouvoir retrouver la surface et avancer mieux. Dans le fond, ils n’étaient pas fait pour cette vie, pour ce monde. Même si Sora pouvait sortir, même si Sora dansait, elle n’avait que lui. Elle n’avait que cet homme brisé, cette épave qu’elle avait ramenée à la surface comme elle pouvait. Mais peu importait à quel point elle se débattait, tentant de lui rendre son faste d’antan, quelque chose était cassé. Quelque chose restait cassé. Malgré elle, la belle laissa lui échapper une larme, elle ne voulait pas se montrer faible, elle ne voulait pas être faible, mais parfois s’était trop. Sachant le visage de Loukas, Sora passa ses bras autour des épaules de ce dernier avant de poser sa tête dans le creux de son cou. Elle avait besoin de le sentir. Il avait besoin de la serrer contre lui, savoir qu’elle était là et resterait là. « Pourquoi as-tu besoin de ces merdes plus que de moi ? » Ses mots étaient chuchotés, à croire que si elle parlait plus fort elle allait briser le silence, la quiétude de cette pièce. Ce qui se produisit. L’emprise de Loukas sur le corps frêle de son amante se desserra. Il n’avait pas de réponse à lui offrir, il ne trouvait pas les bons mots. Il aurait aimé l’aimer autrement, l’aimer correctement. Il rêvait d’un monde où son cœur serait pur, un monde où il ne la briserait pas un peu plus à chaque fois qu’il la toucherait. Il rêvait d’un monde où il n’était pas aussi tordu, pas aussi vide. Un monde où la fumée ses malboro plus que d’emplir ses poumons remplissaient les trous d’obus qui perçaient sa personne. Il rêvait d’un monde où les mains de Sora le reconstruisaient, faisant de lui un homme plein, quelqu’un de complet. Il en rêvait, encore et toujours. Il rêvait de courage et d’un amour pur, un amour qui ne ferait pas aussi mal. Il en rêvait, mais lorsque la réalité reprenait ses droits il perdait son courage, perdait sa force et préférait repartir pour rêver d’autres mirages. Serrant la belle un peu plus fort, Loukas se releva sans difficulté, portant la jeune femme comme si elle n’était qu’un poids plume. Traversant son appartement aux allures de repère pour drogué, le brun se rendit dans la salle de bain. La belle se laissait entièrement faire, à croire qu’elle était prête à tout pour le jeune homme, peu importait où il l’emmenait, elle était prête à y aller avec lui, pour lui. Tournant les robinets de la douche, il passa ses jambes par-dessus le rebord de la baignoire, entrainant tant bien que mal la belle à sa suite. Sans prendre la peine de se déshabiller, sans se soucier de rien d’autre que la jeune femme dans ses bras, il s’avança juste assez que pour laisser le jet tiède les frapper de plein fouet. L’eau qui coulait sur son visage, transperçait leurs vêtements, glissait sur leur peau donnait l’impression au jeune Lazaridis qu’il allait être purifié. Il aurait aimé que ça soit si simple, il aurait aimé que d’un claquement de doigt tout s’efface, qu’il oublie son passé, qu’il en perde la trace, mais ça ne se passait jamais comme il le désirait. Sora lâcha lentement son amant pour le fixer dans les yeux. Ses cheveux humides retombaient sur son front, ses vêtements mouillés se collaient à ses courbes et Loukas semblait toujours aussi perdu que lorsque la belle était entrée dans sa chambre. Néanmoins, il la fixait. Il ne pouvait s’empêcher de la regarder, à croire que s’il détournait le regard un instant elle allait disparaître et l’abandonner. Sora caressa tendrement la joue du jeune homme avant de passer une main dans les cheveux humides de celui-ci. « T’es en train de me tuer Loukas… t’es en train de me tuer et je crois pas que j’arriverais à en réchapper cette fois. Je suis incapable de me sauver. » Souffla t’elle alors que leurs lèvres se rejoignaient naturellement. +

derrière l'écran

Yossssshhh, my name is Amandine, j'ai 19 ans et toujours du mal à m'y faire j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 1236716395

j'adore les jeux sur console, je me connecte le plus souvent possible (par exemple j'ai eu une semaine très chargée donc j'étais pas là, mais normalement je suis vachement plus souvent là). J'adore la musique, donc si vous avez des perles faut pas hésiter à me les partager. J'étudie la psychologie et je dois être vachement tordue, mais vous inquiétez pas je suis pas si flippante que ça j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 294057685

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fiche by snow sparrow.
crédits gifs & icon ;; tumblr & chester.

Bienvenue

Welcome ! J'aime beaucoup ton prénom j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 63645854

Bon courage pour ta fiche j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 2776228154

bienvenue parmi nous !! Comme je te l'ai dit par MP j'espère qu'on reverra Sloane très vite et sinon, j'espère que tu resteras parmi nous. En tout cas si tu as la moindre question tu sais où me trouver !!

Bienvenue

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Merci vous tous j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 1030838771

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Je vais doucement me lancer dans l'écriture de ma fiche, si vous avez des idées d'avatar pour un jeune rêveur complètement addict, je prends j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 4083027567

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j'peux très certainement t'aider si tu le souhaites enfin, tu veux plus un blondinet ou un brunet ? mannequin ou acteur ?
enfin, je te souhaite la bienvenue aussi

Merci

De préférence brunet, qu'il soit mannequin ou acteur, mais les blondinets me conviennent aussi j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 3345307601

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en gros t'es pas difficile et il a quel âge ?

En effet

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Entre 21 et 24 ans j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 2776228154

je sais pas mais sur le coup, je vois trop robbie wadge sinon y'a ash stymest, francisco Lachowski, RJ king, sam way qui irait très bien dans le rôle de l'accro s'ils te plaisent pas, je pars à la recherche de nouveaux visages

Finalement, j'ai pensé à Max j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 4083027567

mais tes idées étaient super cool Selwynn j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 847702376

j'avoue que max est parfait aussi

Welcome ! Je suis grave fan de ton personnage jusqu'à présent, j'viendrais te quémander un lien j'étais un rêveur j'errais dans l'erreur + loukas 3027427628