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 SIA + we will never be royals

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Ambrosia Masíh
Ambrosia Masíh
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+ ta tête : phoebe tonkin
+ double compte : Cleo-Leen Gomery ( Ashley Benson )
+ où tu habites : en haut d'un immeuble du quartier populaire
+ statut : Célibataire qui doit s'occuper d'un gosse mais qui n'en est pas capable. Un peu trop attachée à son " colocataire ".
+ ton job : Serveuse au nightclub quand elle a le courage d'y aller.
+ dans tes rêves :
SIA + we will never be royals 497425tumblrn0jsgyIvrV1qd7fc3o6250Je hais ta façon de me parler et la couleur de tes cheveux. Je hais ta façon de conduire et de me regarder dans les yeux. Je hais tes stupides bottes d’armée et ce que tu devines en moi. Je te hais au point d’en crever et même de te tuer parfois. Je hais ta façon d’avoir raison. Je te hais quand tu me fais rire, davantage quand tu me fais pleurer. Je te hais quand tu n’es pas là et que tu es dieu sait où. Mais je hais surtout de ne pas te haïr

NI UN SEUL INSTANT
NI UNE SEULE MINUTE
N MEME DU TOUT


SIA + we will never be royals Empty
MessageSujet: SIA + we will never be royals   SIA + we will never be royals EmptyMar 25 Fév - 15:14


AMRBOSIA MASIH
>> let my dream come true <<
 

prénom : Ambrosia. Parait que c'est le prénom que sa mère lui avait donné avant de l'abandonner. Elle préférerait le renier. + nom : Masíh, en fait, c'est le nom de la dernière famille d'acceuil dans laquelle elle a été. Son vrai nom, elle ne le connait pas. + date et lieu de naissance : En grèce, pour sur, même si elle ne connait pas la ville. C'était un certain 23 février 1990. + âge : vingt trois ans, il parait. + métier/étude : serveuse au nightclub. Elle a fait un an de psychologie mais a abandonné en tombant enceinte. + statut civil : mère célibataire. Quoi que bien épaulé par le frère du père de sa fille. + orientation sexuelle : hétérosexuelle. + dans tes rêves : elle est accro à cette pilule. Disons qu'elle préfère la vie dans ses rêves que sa vie réelle. Néanmoins depuis la naissance de sa fille elle se sent un peu moins attiré par ce monde imaginaire, comme si quelque chose de beau était enfin arrivé dans la réalité. Le rêve qui lui revient le plus souvent est sans doute celui où elle s'imagine avec Evie et son père, s'il ne les avait pas abandonné toutes les deux. Mais ces derniers temps, elle s'imagine de plus en plus heureuse avec Jayce. + ma petite tête :  phoebe tonkin


all of me
Elle n’a jamais connu ses parents qui l’ont abandonné alors qu’elle n’était encore qu’un bébé. +  Elle n’a jamais vraiment cherché à les retrouver, pour elle, ils sont morts. + Elle est passée de famille d’accueil en famille d’accueil jusqu’à ses dix-huit ans où elle a pu enfin prendre sa liberté. + Elle ne s’est jamais vraiment sentie chez elle et a toujours été considérée comme une jeune fille trop caractérielle et donc trop difficile à élever. + Elle n’a jamais eu l’ambition de faire de grandes études, son rêve, c’était d’écrire un livre. + D’ailleurs elle a toujours un calepin sur elle dans lequel elle écrit dès qu’elle ne se sent pas bien ou qu’elle en a tout simplement l’envie. + Depuis ses dix – huit ans elle passe de petit boulot en petit boulot. + C’est quand elle tomba amoureuse pour la première fois d’Enzo, à ses dix-neuf ans, qu’elle comprit que la vie n’était pas juste une succession de malheur. + Elle fut follement heureuse et amoureuse pendant environ deux ans. Deux ans de passion, de moments de bonheur partagés. + Elle publia pendant cette période un premier livre qui, malheureusement, ne connut pas un grand succès. On la critiqua de voir le monde d’une façon trop rose. A croire que c’était le bonheur qui faisait ça. + Elle commença même une année en fac de psychologie, elle avait pour la première fois envie de prendre sa vie en main, de construire quelque chose. + Et puis elle tomba enceinte, et c’est là que tout bascula. Lui voulait qu’elle accouche sous x, elle se refusait catégoriquement à faire ce choix. Elle ne voulait pas tuer l’enfance de ce gosse comme ses «  parents » avaient tué la sienne. + Il la laissa tomber. C’en était fini des rires et du bonheur. Maintenant elle se retrouvait seule ; une nouvelle fois. + C’est à partir de ce moment-là qu’elle a abandonné les études de psychologie. Elle n’avait plus gout à rien,  elle n’avait pas envie que les gens parlent. Pendant les mois de sa grossesse elle resta au maximum chez elle et c’est là qu’elle découvrit l’existence de la pilule  rêve. Grâce à elle, elle entrait dans un monde qu’elle jugeait bien meilleur. Il lui arrivait parfois de s’imaginer au bras de son premier amour. Mais rien de tout cela n’était réel et elle tombait petit à petit dans une sorte d’addiction qui la rendait heureuse par fragment. + Et puis un matin, alors que sa grosse arrivait à son terme, un homme vint frapper à sa porte. Il se présenta comme le frère d’Enzo; Jayce. + Il lui expliqua qu’il venait d’apprendre que son frère avait laissé une femme seule et enceinte et qu’il ne pouvait pas laisser ça se produire. Sans même lui demander son avis il s’installa avec elle et ne la quitta plus. + Leur relation assez ambigüe mais tout ce qu’elle sait c’est qu’elle a besoin de lui plus que personne. + Elle décida d’appeler sa fille Évie, symboliquement parce qu’Eve était la première femme de la terre. Elle avait que sa fille est une belle vie. + La petite a six mois maintenant mais Ambrosia se sent toujours incapable de bien s’en occuper correctement. Elle a l’impression de briser tout ce qu’elle touche et elle ne veut pas la faire souffrir. + Elle s’appuie beaucoup sur Jayce, il prend soin de sa fille comme si c’était la sienne. + Depuis la fin de sa grossesse elle s’est remise à sortir comme auparavant. Elle fume, elle boit, elle a envie de retrouver l’insoucieuse de sa jeunesse, d’oublier que quand elle rentre chez elle, elle a un enfant à charge. + Depuis la trahision d’Enzo, elle rejette sa haine sur les hommes en général. Elle les trouve pour la plupart manipulateur et inutile. Elle ne veut s’attacher à aucun d’entre eux. Elle couche avec eux uniquement pour satisfaire ses besoins primaires et puis après, elle les jette. Elle a trop peur d’être déçu si elle se permet de se rattacher à qui que ce soit. + Il y a pourtant Jayce qui sort du lot, lui, il est pas comme les autres. + On l’a dit froide et distante. En fait, si elle a au fond un cœur en or, elle ne veut pas le montrer à n’importe qui. + Elle est impulsive, colérique, complètement folle d’après certaines personnes. Mais elle est juste énervée contre sa vie, contre elle-même aussi. + La pilule à rêve est toujours pour elle un moyen de s’évader ailleurs, ça l’aide à se calmer, mais depuis la naissance de sa fille elle en consomme finalement moins qu’auparavant. + Elle a besoin d’être seul parfois, de s’enfermer et d’écrire. + Elle se fou pas mal de son apparence. Qui s’en préoccupe de toute façon ? + Elle aime le sport ; la danse, la course, la gym, la natation même.


story of my life
« Sia .. Je suis désolé. » Il avait le regard perdu dans le vague. Sans doute n’était – il déjà plus avec elle. Sans doute était – il déjà parti au ailleurs, au loin d’elle et leur enfant qui grandissant sous son nombril. Elle sentait la colère montait en elle. Elle savait que d’une minute à l’autre, elle risquait de faire une crise d’hystérie. Il savait qu’elle était colérique. Rancunière.  Il savait que s’il partait aujourd’hui ce n’était plus la peine qu’il revienne. Plus jamais. Et c’était sans doute ça qui faisait encore plus mal. Se dire qu’il la laissait définitivement. Qu’il allait passer cette porte et ne plus jamais revenir. Elle se sentait bien avec lui pourtant dans ce petit appartement. Et elle savait que, même avec un enfant en plus et même si ce n’était pas prévu, elle aurait pu se sentir bien aussi ; tant qu’il était là. Parce qu’elle se sentait invincible à ses côtés. Elle se sentait pleine d’une puissance qu’elle n’avait jamais connue auparavant et qu’elle ne croyait pas exister. Elle avait connu le bonheur grâce à lui. Elle avait appris que la vie valait la peine d’être vécu, qu’être heureuse aujourd’hui valait bien toutes les années de malheur qu’elle avait eu auparavant.  Mais voilà. Il faut croire que tout ne pouvait pas continuer éternellement. Que le bonheur n’est qu’une sorte de papillon qui se dépose quelque part mais qui n’est qu’éphémère. Il vous enchante quelques mois et puis, il disparait. « Je t’aimais tu sais .. »  C’était le mot de trop. La chose qu’il ne fallait pas dire. Elle avait l’impression qu’il lui enfonçait un poignard dans le cœur et qu’il prenait un malin plaisir à laisser la plaie béante. « Non. Ferme là. Je n’ai ni envie d’entendre tes excuses ni tes remords. Si tu veux partir ; pars. De toute façon ta décision a été prise il y a bien longtemps, dès que je t’ai annoncé cette putain de grossesse tu as décidé de te barrer. Alors non, tu ne m’aimais pas. J’peux même te dire que tu ne m’as JAMAIS aimé. Un homme qui aimait vraiment resterait. » Les larmes lui montaient aux yeux. Elle avait envie de lui crier les pires insultes du monde mais elle voulait rester digne. Elle n’avait pas envie qu’il la voit comme une folle hystérique pour leur dernier moment ensemble. A croire qu’elle voulait qu’il garde d’elle une image positive pour qu’il puisse se mordre les doigts de l’avoir laissé dans quelques mois. Elle avait envie qu’il finisse par souffrir comme elle souffre. Elle espérait qu’il revienne ramper à ses pieds et qu’elle puisse avoir la force de le rejeter. Quoi que tout ce dont elle avait réellement envie maintenant c’était de se serrer dans ses bras. Putain d’amour. Putain de sentiments. « Tu sais que je ne me suis jamais sentie à ma place nulle part. Tu sais combien j’ai souffert de l’abandon de mes parents. Tu sais quoi moi aussi je suis désolée, désolée d’avoir cru un seul instant que tu pouvais ne pas vouloir faire la même erreur que mon père. Il m’a abandonné. Maintenant c’est toi qui m’abandonne et qui abandonne l’enfant que j’ai en moi. A croire que c’était écrit.  Alors pars maintenant. Pars avant de le regretter. Parce que de toute façon, c’est déjà trop tard. »   A cet instant précis, elle le détestait au plus profond d’elle-même, comme si  tout l’amour qu’elle avait accumulé en elle s’était soudainement transformé en une haine folle et indestructible.



***

« T’étais où ? » Jayce. Elle n’avait pas prévu qu’il serait encore debout à cette heure si. Elle se sentit soudainement idiote d’être prise au piège comme l’aurait pu être une adolescente. « J’étais .. » Elle s’arrêta brusquement en se retournant vers lui. Qu’est-ce que ça pouvait bien lui faire où elle était partie ? Elle avait nourri sa fille et mise au lit et après ça, elle estimait qu’elle avait encore le droit de sortir si elle en avait envie. Elle n’avait surtout pas envie de lui avouer qu’elle avait passé une bonne partie de la soirée à boire et qu’elle avait dû attendre de dessaouler un peu avant de revenir. Elle n’avait pas envie qu’il la voit comme ça. Qu’il sache que dès qu’elle ne pouvait elle s’allumer une cigarette, elle buvait un verre ou elle se jetait dans les bras d’un homme.   « Bien tenté mais en fait, ça ne te regarde pas. Et toi, tu fais quoi debout à cette heure-là ?  » En réalité, il savait très bien ce qu’elle avait fait de sa soirée, ce qu’elle faisait de toutes ses soirées. Il détestait la savoir dans les bras d’un autre homme, il détestait l’idée qu’elle se bousille comme elle pouvait le faisait. Mais il ne pouvait rien lui dire. Il n’était rien pour elle. Juste le frère du père de son gosse. Pas le père. Là  était toute la différence. « Je t’attendais. » A croire qu’il l’avait toujours attendu. Quand son frère lui annonça qu’il avait laissé tomber une fille parce qu’elle était enceinte, le sang de Jayce n’avait fit qu’un tour. Il avait vécu une rupture douloureuse quelques mois plus tôt, une femme qui l’avait subitement laissé tomber et il n’avait plus rien ; il pouvait aisément comprendre ce que ressentait Ambrosia. Alors, puisqu’il n’avait aucune attache, il avait décidé de la rejoindre. D’apprendre à la connaitre et finalement, de l’aimer malgré lui. « Et puis Evie s’est réveillée, je crois qu’elle a eu peur de ne pas te voir à côté d’elle en ouvrant les yeux. » Elle avala sa salive. Sa fille n’avait pas fini de pleurer à cause d’elle. Elle se sentait incapable d’être une bonne mère, incapable de penser à tout, incapable de sécher les larmes que personne n’avait réussi à sécher chez elle. Comment pouvait – on être une bonne mère sans n’avoir jamais connu la sienne ?   « Merci Jay, pour tout.  » Un léger sourire à son attention, elle partit s’enfermer dans sa chambre, posant les yeux sur la petite fille qui s’était finalement rendormie, recroquevillée dans son berceau. Sans doute grâce à Jayce. Parce qu’il était sans doute la seule personne qui faisait tenir Ambrosia et sa fille debout. Jamais elle ne le remercierait assez. Et parfois, il lui arrivait de rêver qu’il soit le père de son enfant et que son frère n’est jamais existé.
 


derrière l'écran
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fiche by snow sparrow.
crédits gifs & icon ;; tumblr & chester.

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